LES FILMS A NE SURTOUT PAS LOUPER CE MERCREDI 28 OCTOBRE AU CINEMED
INDIGNADOS / TONY GATLIF / 11H / OPERA BERLIOZ CORUM
Indignados est le témoignage de ce qui se passe aujourd’hui, et nous plonge dans la réalité dense et palpable d’une Europe révoltée. Au coeur de l’actualité, au sein même des mouvements des Indignés, nous découvrons, à travers le regard et le voyage de Betty, jeune clandestine africaine, des hommes et femmes qui se dressent face à un système, pour juste pouvoir vivre.
SWING / TONY GATLIF / 14H / CENTRE RABELAIS
En présence de Tony Gatlif
Max, fils unique, est âgé d’une dizaine d’années. C’est un fan de Jazz manouche, qu’il a découvert en écoutant jouer Miraldo, un virtuose de la guitare. Cette musique devient sa passion et le conduit vers le quartier des manouches où il achète une vieille guitare. Grâce aux cours que Miraldo veut bien lui donner, Max va faire l’apprentissage de la musique et de la culture manouche. Très vite, il devient l’ami de Swing, jeune Manouche de son âge qui le fascine par son magnétisme, son assurance et sa liberté.
UN ALLER SIMPLE POUR PERPIGNAN / BERTRAND SCHMIT / 16H / CENTRE RABELAIS
Bien décidé à tourner la page et changer de vie, Lohnny, 22 ans, quitte sa Normandie natale avec pour seul bagage un billet de train pour Perpignan. Abandonné par ses parents, il laisse derrière lui une adolescence tourmentée et deux années passées en prison. Pendant un an, Bertrand Schmit, le suit dans ses errances, ses projets, ses échecs… À travers l’histoire de Lohnny, le film évoque le destin de plusieurs milliers de « précaires », en majorité des jeunes, qui abandonnent tout pour venir s’installer dans les Pyrénées Orientales, un territoire lointain entre mer et montagne qui continue de nourrir le fantasme d’une vie meilleure.
Soutenu par la Région Languedoc-Roussillon en partenariat avec le CNC.
NOCES DE SANG/ CARLOS SAURA / 21H / CENTRE RABELAIS
Une troupe de danse répète une chorégraphie d’Antonio Gades adaptée de la pièce de théâtre Noces de sang du poète Federico García Lorca. « Gades avait réussi à capturer ce que j’imaginais impossible de capturer dans le théâtre de Lorca : il avait maintenu l’esprit populaire de Lorca, au sens le plus profond du terme, et il y avait là une prodigieuse et rigoureuse mise en scène de l’histoire à travers ce ballet austère, tout en tension, et cette musique si justement populaire elle aussi. » Carlos Saura